Hommage
Tu es l’étoile qui scintille dans ma nuit,
Tu es la main qui me guide dans ma vie,
Tu es celle sans qui je ne serais,
Et pourtant celle avec qui je ne serai jamais.
Tu m’as quitté à l’aube de ma treizième année,
Par la maladie, tu as été emportée.
Il y a un mot que je n’ai plus jamais prononcé,
Celui qui me permettait de t’appeler,
Maman.
Emouvant poeme Athena … gros smack pour toi !
e2p78 a dit ceci 3 juin, 2007 à 10:50
je viens de lire ton poeme,trés beau. les mots du coeur sont eternels.
natsu a dit ceci 3 juin, 2007 à 11:07
merci d’avoir lu , c’est un poème qui me tient à coeur surtout aujourd’hui.
athéna a dit ceci 3 juin, 2007 à 11:15
sur un de mes poèmes Saxifrage un jour a mis que pour lui c’était la « défaite des mères », pour moi « fêtes amères »
miladychristy a dit ceci 5 juin, 2007 à 0:16
avec le temps, l’amertume s’efface, pour laisser la place à….. rien, mais c’est comme ça.
athéna a dit ceci 5 juin, 2007 à 0:35
A chaque instant le rideau tremble et s’ouvre sur de nouveaux jours…..
Certains sont plus doux que d’autres, mais tous nous conduisent à aujourd’hui….
Très émouvant ton poème.
Vraiment.
Isa
Dernière publication sur Isabelle SZLACHTA, une âme d'artiste : Plonéis, un vernissage en musique
Isabelle a dit ceci 6 juin, 2007 à 23:01
merci Isa
athéna a dit ceci 6 juin, 2007 à 23:08